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Les chants de Noël en Roumanie font
partie de premières formes littéraires actées au
Moyen Age.
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"Plugusorul" ("La charrue")
est un récit aux connotations de rituel agraire sur lequel est
greffée la légende de l'empereur romain Trajan qui a changé
la culture du millet avec la culture du blé dans l'ancienne Dacie,
après l'avoir occupée.
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| L'instrument appelé "buhai" ("taureau") imite le boeuf, le fouet suggère le bétail mené aux travaux agricoles, la clochette s'y associe également pour simuler l'ambiance autour de la charrue qui laboure la terre. | |
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| Satiriser les tares de l'année passée avec des masques grotesques ou consigner le passage du temps avec la danse des vieux ("mosul si baba"), font aussi partie des coutumes roumaines de Nouvel An. | |
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Les chèvres mais aussi des animaux
sauvages comme le cerf ou l'ours dansent à l'arrivée du
Nouvel An.
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"Semanatul" (le semis) est
la continuation logique du rituel agraire. Après avoir labouré
la terre, le semis du blé est devenu un symbole de fertilité
et de bonheur pour le Nouvel An.
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